Cette table ronde se tiendra en présence de Martin Malvy, président de Sites & Cités et ancien ministre, mais aussi de personnalités issues du ministère de la Culture, directeurs des écoles du Louvre et de Chaillot et professeurs de droit public et d’histoire du droit.
Programme
Accueil de Claire BARBILLON
directrice de l’École du Louvre
Ouverture : Maryvonne DE SAINT PULGENT
présidente du Comité d’histoire du ministère de la Culture
Animation : Jean-Louis HAROUEL
professeur émérite d’histoire du droit à l’université Panthéon-Assas
avec la participation de :
Martin MALVY
ancien ministre, ancien maire de Figeac, président des sites et cités remarquables de France :
« Le droit des monuments historiques au service du développement urbain »
Benoît MELON
directeur de l’École de Chaillot, ancien directeur du SDAP de l’Aude, ancien conseiller pour l’architecture de la DRAC d’Occitanie :
« Quel avenir pour la protection du patrimoine dans le cadre des nouvelles organisations territoriales ? »
Frédéric ROLIN
professeur de droit public à la faculté Jean Monnet :
« Quel dialogue entre le droit des monuments historiques et le droit de l’urbanisme ? »
Jean-Michel LOYER-HASCOËT
directeur du Service du patrimoine au ministère de la Culture :
« Quelles relations entre État et collectivités dans les politiques patrimoniales des villes ? » (sous réserve)
Présentation de l’ouvrage
Cet ouvrage fait suite à un premier tome publié en 2013 et consacré à la loi de protection des monuments historiques du 31 décembre 1913 dont on célébrait alors le centenaire et qui s’inscrivait dans un projet de recherche plus large consacré aux grandes lois patrimoniales.
Le principe reste identique : retourner aux textes, à l’étude des archives, à leur publication, les analyser dans une démarche croisée faisant appel à un large spectre de connaissances et de méthodes. Mais aussi s’intéresser aux hommes (d’où les biographies), aux acteurs de cette histoire, comprendre leur volonté et leur ambition, pratiquer l’analyse comparative en confrontant cette histoire aux pratiques de pays étrangers. Et renouveler ainsi une histoire que l’on croyait bien connue en lui donnant une cohérence et une fraîcheur nouvelles.