Biarritz

Cité des vagues et des embruns, la « reine des plages et plage des rois » conserve, avec ses villas princières, ses casinos, ses bâtiments Art déco et son architecture paillettes, les témoignages d’un passé glorieux et mondain, où artistes et têtes couronnées se mêlaient dans des fêtes somptueuses. Pourtant Biarritz n’est pas restée figée dans la nostalgie : à chaque coin de rue, vous croiserez jeunes et moins jeunes, planche sous le bras, prêts à défier inlassablement les rouleaux. Incontestablement tournée vers l’Océan, l’ancienne cité baleinière profite également d’une vie culturelle intense, où la danse se taille la part du lion.

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Tourisme patrimonial

Rocher de la Vierge

Napoléon III eut l’idée de faire creuser ce rocher, entouré d’écueils, et de le relier à la falaise par un pont de bois. Aujourd’hui, il est rattaché à la côte par une passerelle métallique qui, par gros temps, est inaccessible, les fortes vagues balayant la chaussée. Surmonté par une statue immaculée de la Vierge, le rocher est devenu le symbole de Biarritz.

La Perspective

Magnifiquement illuminée à la nuit tombée, cette promenade surplombe la plage
de la Côte-des-Basques, où se trouve l’établissement des bains, un ancien bâtiment Art déco reconstruit à l’identique. De jour, la vue porte jusqu’aux trois sommets basques : la Rhune, les Trois Couronnes et le Jaizkibel.

Chapelle impériale

Édifiée en 1865 non loin de la résidence du couple impérial, c’est le seul vestige intact datant du Second Empire. Cette chapelle au décor travaillé, vouée à la célèbre Vierge mexicaine de Guadalupe, mêle styles roman-byzantin et hispano-mauresque.

Musée historique

Installé dans la première église anglicane de la ville (1861), ce musée évoque l’histoire de Biarritz, en particulier la glorieuse période du Second Empire, lorsque Napoléon III et l’impératrice Eugénie établirent leur résidence d’été, et les Années folles.

Musée Asiatica

Passionné par l’Asie et notamment par l’Inde, où il a longtemps vécu, Michel Postel est dépositaire d’une fabuleuse collection, la deuxième du genre en France après celle du musée Guimet de Paris. Plus de mille pièces sont présentées dans un fouillis bien organisé : des vitrines chargées sont agencées par zones géographiques, ce qui permet d’embrasser les pratiques religieuses et la vie quotidienne des différentes cultures représentées. Parmi les points forts : la collection du Tibet, première au monde par sa richesse et sa qualité, les pierres sculptées du Cachemire,
les arts gréco-bouddhique, satrapique et de l’Himalaya. Le lieu, à la fois calme et passionnant, est complètement hors du temps et déconnecté du monde actuel…