Boucau

Trait d’union entre le Pays basque et les Landes, cette cité portuaire à l’embouchure de l’Adour forme en réalité avec Biarritz, Bayonne, Bidart et Anglet une même et grande agglomération. La commune est née officiellement en 1857, par détachement d’un quartier de Tarnos, trois ans après l’inauguration du chemin de fer à Bayonne, alors que le tourisme balnéaire était en plein boom. Loin des fastes de Biarritz, elle a dû l’essentiel de son essor à la création, en 1881, des Forges de l’Adour. Cette épopée sidérurgique majeure s’est achevée en 1965.

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À venir.

Tourisme patrimonial

Église Notre-Dame-de-Bonsecours

Construite entre 1898 et 1900, en plein essor démographique et économique de la ville, elle est restée inachevée : le projet prévoyait une flèche qui aurait culminé à 40 m, mais le clocher carré en est finalement resté dépourvu.

Cité des Forges

Bâti à la fin du 19e s. sur le modèle des grandes cités ouvrières du Nord, avec ses maisons uniformisées, sa chapelle néogothique à charpente métallique (1895) et ses bâtiments collectifs, ce quartier s’étend sur les communes de Boucau et Tarnos. Voir notamment les rues Maurice-Perse et St-Charles (maisons d’ingénieurs), la rue André-Dubois, ainsi que la rue du Fronton à Tarnos.

Port de la Cale

Une première cale, construite en 1732, abritait les embarcations des pilotes et lamaneurs, qui aidaient la circulation des gros navires dans l’embouchure de l’Adour. Comblée pour laisser place au tracé de la ligne de chemin de fer, vers 1855, elle fut déplacée à son emplacement actuel.